Plus rien ne sort, plus rien ne rentre, tout reste et se condamne au plus profond de soi. Lui, ce lieu, ces moments multiples et cette chanson, ce film horrifique. Les traiter d'obsessions ou de souvenirs ? Des deux. Dans mon instinct ils arrivent à percer, à me guider. Pour que quelques jours ne ne jure que par eux, ce qu'ils aiment, ce qu'ils sont. Que ma bouche n'aie envie que de traiter d'eux, leur beauté, leur absurdité, leur élégance et leur horreur, tellement ils m'ont fascinée. Quelle miséricordieuse tendancielle je fais. Influencée de toutes parts, mon esprit est fait de ce vide qui ne demande qu'à être comblé de tout.